Haïti vers l’expérience christophienne de 1807 avec Willot Joseph
Depuis après l’arrivée du PHTK au pouvoir en Haïti, la situation misérable de la population ne cesse de grimper.De nouveaux mots et de nouvelles expressions entrent dans le dictionnaire populaire sans être passés par «AKA» Akademi Kreyòl Ayisyen,Par exemple :« Bandi legal,peyi lòk,G9 anfanmi,kowalisyon viv ansanb».Ils ont pour conséquences le déguerpissement, l’appauvrissement, l’incendie, blocage des routes, la mort de la population civile et la division du territoire.
Face à cette situation, certains citoyens du pays touchés par cette vague, commencent à réfléchir et faire des propositions.
C’est le cas pour l’ancien sénateur du centre Willot Joseph qui pense que le glas a sonné pour qu’Haïti renaitre de ses cendres en penchant sur l’expérience christophienne à partir des années 1807 après la bataille de Cyber.
L’assassinat de Dessalines le 17 octobre 1806 consomme une double rupture dans la stratégie unitaire qui avait conduit à la conquête de l’Indépendance. Tout d’abord, les groupes dirigeants des forces révolutionnaires se divisent à la fois sur la question du contenu et sur celle du mode d’exercice du pouvoir d’État. L’opposition entre Christophe et Pétion symbolise cette double division. D’où la scission du pays avait consommé, Christophe dirigeait le royaume du Nord et Pétion dans L’ouest. Aujourd’hui, le pays se trouve diviser par la violence des gangs armés en complicité avec l’état Haïtien qui n’a rien fait de sérieux jusque-là pour stopper avec dernière rigueur les actions banditismes.
Une proposition vient de naitre, un message d’unité national venant d’un ancien parlementaire du PHTK,Willot Joseph «nèg emay la (email) » qui lui-même n’est pas innocent dans le sal pétrin se trouve notre chère Haïti. Ce dernier fait appel aux fils et filles du grand nord de développer une synergie afin de retirer ces 5 départements sous la dépendance de la république de port-au-prince qui aujourd’hui n’est qu’un dessert, même les autorités étatiques l’on fuient pour l’insécurité .
Toujours selon Willot, lorsqu’il était parlementaire, il venait déjà avec cette idée mais il n’avait pas trouvé dès suffisamment de personnes qui montaient abord, aujourd’hui il n’est plus que urgent pour qu’un tel projet soit effectif, il y a une nécessité dans l’air. Monsieur Joseph fait appel aux policiers, les soldats FAD’H et des agents de BESAP de lui rejoindre afin de redorer le blason d’Haïti.